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Une soirée pour apprendre à échouer
Personne n’a jamais changé le monde en restant assis sur son canapé.
On a tous des rêves, et pourtant, rares sont ceux qui prennent le risque de les réaliser ! 💪
Prendre la voie de la réussite, c’est parfois prendre le risque de se tromper, de se perdre, et d’échouer 🤷♀️
Pourtant, même si la chute n’est pas toujours facile à vivre, elle demeure une source d’apprentissage personnel et professionnel, qui permet aussi d’apprendre à se relever puis à rebondir pour le meilleur ✅
C’est donc pour dédramatiser l’échec, apprendre à rebondir et à inciter tous les étudiants à se lancer, peu importe le projet qui leur tient à cœur, que nous avons organisé la deuxième édition de la « Fail Night » cette année ! 🔥
Déroulé de la soirée
🔹 Présentation & animation de la soirée par Cyril Benzaquen, quintuple champion du monde en kickboxing et Muay Thai
🔹 Trois intervenant.e.s sont revenus sur leurs parcours d’entrepreneur.e.s ;
🔹 Session de questions/réponses avec le public d’étudiant.e.s dauphinois.e.s.
🙌 Nos trois intervenant.e.s – toutes & tous sont venu.e.s témoigner de leurs parcours et de leurs échecs, en racontant leur histoire. L’idée étant d’apprendre comment et avec quels outils ils/elles ont remonté la pente, et quelles leçons partager avec les étudiant.e.s dauphinois.e.s.
🔸 Arnaud Assoumani – Champion paralympique et double champion du monde du saut en longueur
🔸 Christel Bony – Entrepreneure militante, présidente du mouvement SexTech For Good et coach sur la sexualité positive au sein de Sexualité Positive
🔸 Lucas Finchelstein – Ancien Dauphinois, il a fondé la startup Koikil. A la suite de son expérience entrepreneuriale, il est maintenant bras droit du CEO chez Unifai
💭 Les citations qui nous ont inspirées :
✔️ Lucas : « Moi l’entrepreneuriat, ça a été 0€ pendant 1 an et demi. En revanche, ça m’a appris un truc. Je savais pour quoi je me levais le matin, et je savais aussi ce pour quoi je n’avais pas envie de me lever le matin. Et faire de la banque et de la finance, personnellement, ça ne me donnait pas envie de me lever le matin. Et donc, la manière dont j’ai appris et dont j’ai pu comprendre et valoriser mon échec, c’est de me dire maintenant, je sais ce que je veux faire à court terme dans ma vie. Ce qui m’intéresse, c’est être #entrepreneur et de travailler dans une petite boîte »
✔️ Christel : « Ce que tu vis, est-ce que c’est grave ? C’est douloureux, c’est embêtant, j’aurais préféré réussir, donc oui, il y a du négatif. Mais au final, est-ce que c’est grave ? La réponse, c’est non ! Parce que tant que vous êtes là, en bonne santé, en vie, il y a un possible après ! Et si en plus, vous arrivez à surmonter cet échec-là et le transformer en apprentissage, vous en faites quelque chose de précieux qui va vous servir pour après. »
✔️Arnaud : » Ce jour-là, je passe à côté, donc je ne suis pas médaillé pour la 6ème fois et pour mes 5èmes jeux. Donc là, je me prends une grosse claque « . « Avoir peur d’un échec, au final, c’est naturel. C’est normal d’avoir peur ».
✔️Cyril : « L’échec m’a permis de découvrir de nouvelles step, que j’ai franchis. Parce que j’ai échoué, j’ai cherché de nouvelles choses. Et je pense que c’est en çà que l’échec nous élève : il nous fait concentrer sur de nouveaux sujets. »
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