sur
Jaiye - Enjoy Good Music
Jaiye se donne pour mission de structurer l’industrie musicale africaine via une solution de diffusion et de distribution adaptée aux artistes d’une part, et aux auditeurs de l’autre.
Jaiye pour les artistes musiciens africains : une plateforme dédiée pour monétiser leurs titres et en assurer la distribution auprès de leurs communautés d’auditeurs.
Jaiye pour les auditeurs : réunit toute la musique afro en un seul et même endroit et simplifie sa consommation avec une solution pertinente vis-à-vis des besoins des auditeurs africains.
Les liens utiles :
- Pour vibrer sur les sonorités afro : la plateforme
- Pour s’inspirer : le compte instagram
Quelques chiffres
(accompagnés de quelques lettres)
Le mot
du fondateur
Notre objectif ? Proposer une solution qui s’adapte au mode de consommation de la musique sur le continent et rémunérer les artistes au nombre de téléchargements.
L’incubateur Paris-Dauphine nous a fait confiance et notre année passée ici nous a permis d’obtenir le prêt d’honneur, de rencontrer l’un de nos investisseurs, tout en bénéficiant d’un réseau d’experts et d’entrepreneurs nous permettant de débloquer quelques problématiques clés. Merci !
Jean-Yves Kokou, Co-fondateur et DG de Jaiye
Un peu
d'histoire
Passionnés de musique africaine, Jean-Yves Kokou et Valy Sylla ont pris le pari de structurer l’industrie musicale afro-caribéenne en créant la plateforme de distribution musicale JAIYE.
Geeks, ambitieux et entrepreneurs dans l’âme, c’est en sortant d’une grande école d’ingénierie française que le duo béninois et ivoirien décide d’unir leurs compétences afin d’entreprendre pour le développement de l’Afrique.
C’est ainsi que « JAIYE » est née, signifiant joie et espoir. Le projet est en ligne et se présente comme une plateforme de distribution et diffusion musicale.
Pour l’heure, l’industrie musicale africain n’est pas encore « structurée » et tout « reste à faire ». En effet, JAIYE part du constat que face à une industrie non structurée, la propagation de la musique afro et par extension l’ensemble de la culture qui en découle ne peut se faire dans de bonnes conditions. JAIYE souhaite donc changer la donne !
L’Afrique ne représente que « 1 % des biens et services culturels exportés dans le monde » et reste bien « minime sur la scène internationale ». Alors, comment faire évoluer cette industrie ?
Utiliser le tout numérique, exiger la transparence, faire de la distribution légale et respecter les droits d’auteurs, et permettre aux artistes de vivre de leurs œuvres.
Le marché est immense, plus d’1,3 milliard d’habitants sur le continent, une diaspora de plus de 186 millions de personnes et le 2ème plus grand marché mobile après l’Asie.